🎵Top 9 des meilleures musiques de Francky Vincent🎵

 

Francky. Ah, cher Francky. Dieu de la musique, qui anime nos soirées sous les cocotiers avec sa voix si suave et agréable…

Enfin, ça, c’était avant. Avant, lorsqu’on pouvait encore improviser une petite fiesta avec les ami.e.s. Avant que l’hiver arrive (oui, nous sommes en automne, mais chute brutale des températures = retour du plaid et de la raclette = hiver, ok ?). Avant, quand on pouvait encore s’improviser des petits concerts privés de Francky Vincent…

Oh, mais qu’est-ce que nous racontons, c’est encore possible ça ! Enfin, ce n’est pas interdit, sauf si vous avez signé une charte de bon voisinage un peu douteuse, ou que vous avez mal réglé votre âge de votre compte Youtube, parce qu’avec Francky, on ne rigole pas avec la limite d’âge !

Bref, laissons notre ami des Caraïbes réchauffer l’atmosphère (dans tous les sens du terme) avec ses douces paroles (idem)…

 

9- À la folie :

 

 

Comme il le dit si bien « Allons-y, On y va »! À l’heure où le body positivism est de plus en plus accepté et répandu, Francky apparaît comme une figure avant-gardiste. Vous ne me croyez pas? Écoutez attentivement la chanson car au-delà de faire son éloge personnel (Francky Vincent je t’aime à la folie, tmtc), Francky nous dit que le sexe nous fait oublier tous nos complexes! Alors on dit merci qui? 

 

8- Tu pues du cul :

 

 

Ma maman m’a toujours dit que péter un coup, ça fait du bien. Mais parfois, ça tourne mal (déso maman). Passer cette musique constitue un moyen très explicite pour dire à votre voisin dans le métro que ses flatulences ne siéent guère à vos narines, ou bien faire passer un merveilleux message d’amour à votre moitié, à savoir : “Prout, ça pue”.

 

7- Sacré cochon :

 

Une autobiographie en tout modestie, mais n’est-ce pas le cas de toutes les œuvres del fabuloso Francky ? (Mon niveau d’espagnol ne lui arrive pas à la cheville). Maintenant, quand ma grand-mère me traitera de petit cochon à table à Noël, quand je mangerai de la dinde (fourrée 😉 ) aux marrons, je penserai à toi…

 

6- Alice, ça glisse :

 

La rédaction s’excuse d’avance du traumatisme causé auprès de toutes les Alice, Francky avait besoin d’une rime. Mais, il a su mettre en valeur ce prénom à coup de références littéraires (oui, on parle bien du pays des merveilles), tout en mettant en valeur le patrimoine régional #Nosrégionsontdutalent. Avec son savon de Marseille, Francky faisait du Made in France avant l’heure (avant-gardiste on a dit).

 

5- Le Restaurant :

 

Tout grand homme cache en lui une part d’ombre, et c’est le cas de Francky. En l’an de Grâce 2003, notre cher ami a ouvert un restaurant à Thiais, dans le Val-de-Marne. Et bah, le moins qu’on puisse dire, c’est que l’ambiance était loin d’être la même que sous les tropiques. Francky est donc parti sans laisser de trace (avec la caisse bien sûr), jusqu’au jour où il a décidé de faire éclater la vérité. Mais pourquoi en venir aux mains quand on peut tout balancer en musique ? C’est bien Francky, tu as raison, il faut toujours dire les choses explicitement, et t’es le king pour ça. Cyprien vs Cortex tremble encore face à ton clash prodigieux….

 

4- Vas-y Francky, c’est bon (Nouvelle génération) : 

 

Qui a dit que Francky, c’était pour les darons ? Ne sous-estimez jamais le maître : il se renouvelle continuellement ! Ecoutez donc ce grand classique remixé avec les outils de notre génération Z ! Vas-y Francky, envoie la sauce !

 

3- T’es chiant(e) :

 

Bien qu’elle soit en elle-même un chef-d’oeuvre musical, cette chanson n’est que trop bien mise en valeur par ce clip minutieusement ficelé. Des moyens hollywoodiens, un jeu d’acteur à couper le souffle et surtout une chorégraphie sans égale ont fait de ce duo un incontournable de la discographie de Francky et même de la chanson française.

 

2-  Les fruits de la passion : 

 

Francky, c’est un homme qui n’a pas peur de choquer. C’est pourquoi il ose même à la fin de cette chanson entonner un air de yodle (oui oui, Francky est un homme qui regorge de talent). Dans ce classique, Francky évoque avant même le très célèbre WAP de Cardi B le plaisir féminin tout en métaphores. 

 

1- Tu veux mon Zizi : 

 

Que dire, que dire…
Cet emploi de toutes les capacités, pour nous faire voyager de la bicoque à la casbah…
Ces fruits et ces étoiles de mer à lunettes qui sautillent dans tous les sens…
Ces petits crabes qui agitent leurs pinces prêts à te… pincer…
Cette gentillesse de nous prévenir tout en te trémoussant “Viens ce soir dans mon duplexe, il y aura sans doute du sexe” (Quel gentleman, le consentement, c’est vital !)
Non, j’ai pas les mots pour décrire un tel chef d’oeuvre. Francky, t’as carrément transcendé l’art de la musique avec ton flow venant tout droit de sous les cocotiers. Même Julien Lepers t’égale pas avec ses douches de “oui oui oui oui’”.
Clairement : c’eeeeeeest çaaaaaaaa !

VR SEX : article putaclic

90819848_3539220082809051_420605631901204480_n

ATTENTION : cet article est à visée humoristique et informative. L’auteur ne se base que sur ce qu’il a pu glâner sur le net (si, si, on vous jure), et la rédaction décline toute responsabilité quant aux virus que vos appareils électroniques pourraient récolter si la curiosité vous poussait à essayer les méthodes qui suivent, certainement fabuleuses, je sais pas, je dis ça comme ça. Bisous. 

De tous temps, l’Humain a développé de nouvelles technologies pour, à défaut de survivre, vivre, et ce de la manière la plus confortable possible. Et de tous temps, un.e autre Humain.e a repris cette technologie juste après pour l’appliquer aux joies de la chair. 

A cet instant précis, utilisant le super site louvrboite.fr pour parler érotisme et graveleuseries, je me sens un peu comme l’autre Humain. Lançons-nous donc gaiement dans la découverte du coït virtuel. 

 

VR SEX : quézako ? 

Selon Wikipédia (recherches faites en fenêtre de navigation privée, évidemment), le VR Sex ou Virtual Reality Sex est “une technologie qui permet à l’utilisateur de recevoir des sensations tactiles d’autres participants ou de personnages de fiction par l’usage de sex-toys contrôlés par ordinateur”. 

En règle générale, ces dispositifs se composent donc d’un casque de réalité virtuelle (de plus ou moins bonne qualité), et d’un sex-toy, qui lui est relié. 

 

Si on pense dans un premier temps à l’utilisation du casque de réalité virtuelle dans le but de visionner des contenus pornographiques filmés selon le point de vue de l’un des deux (ou trois, ou quatres, ou plus) protagonistes, il existe (toujours selon Wikipédia, soyons clairs) un grand nombre d’autres dispositifs. Car il est bien connu que pour ce qui est des joyeusetés, l’autre Humain repousse les limites de l’inventivité. 

 

Il existe notamment the BKK CYBERSEX CUP : composé d’un casque et d’un dispositif masturbatoire pour pénis, il s’accompagne également d’une appli, qui permet à l’utilisateur de se créer une partenaire sexuelle “idéale” selon ses préférences physiques. Le dispositif masturbatoire est relié à l’application par Bluetooth. Par une série de capteurs à l’intérieur du masturbateur, l’ “action” est transmise à la partenaire virtuelle. Le casque en lui même n’est pas à proprement parler un casque de réalité virtuelle, puisqu’il accueille seulement le téléphone, sur lequel est lancée l’application dédiée, devant les yeux de l’utilisateur. L’application permet de “placer” sa cyber-partenaire dans n’importe quelle position et dans n’importe quel environnement, afin de créer une expérience sur mesure. 

 

Ce dispositif est somme toute assez sommaire dans le game de la cyber-galanterie. 

D’autres utilisent les principes de la technologie haptique (système tactilo-kinesthésique physique ou mécanique, éventuellement robotique qui peut notamment créer une communication entre un humain et une partie de son environnement, le cas échéant entre un opérateur et un environnement virtuel), notamment utilisée dans le domaine de la chirurgie et de la santé, de la pédagogie, ou encore du handicap (il existe des boussoles haptiques permettant aux personnes malvoyantes de se déplacer plus facilement). 

Sont par exemple commercialisés (SELON WIKIPEDIA, J’AI DIT) l’application Kissengers, qui permet d’échanger des baisers à distance, ou Teletong, son équivalent pour le french-kiss, en cours de développement à l’Université Keio de Tokyo. 

Votre aimable serviteur n’a cependant pas trouvé d’information quant à la possibilité de se refiler un rhume par ce biais. 

 

L’entreprise CamSoda a produit une application nommée Blowcast, qui, associée à deux appareils connectés, permet de donner des fellations à distance, préenregistrées par l’un.e des partenaires via une plateforme en ligne, dans un premier temps. Toutefois, il semblerait qu’une version “en direct” soit annoncée. 

 

Bien qu’il ne s’agisse que d’un nombre restreint d’exemples, l’utilisation de la technologie et le développement de dispositifs virtuels axés sur le plaisir en dit beaucoup sur nous-mêmes et sur la société dans laquelle nous évoluons. Ces dispositifs sont extrêmement binaires et phallocentrés, axés sur une vision unique de la sexualité, et, comme souvent, d’une manière très machiste, utilisant le personnage féminin comme simple objet de désir, uniquement fondé sur une apparence physique. 

La beauté du badinage, cependant, n’est-il pas la diversité des formes qu’il peut prendre, et l’unicité des individus, des vrais ?

 

Richard Jouir

PS: n’oubliez pas de sortir couverts, loin de vous l’envie de récolter des champignons ou des virus (informatiques, bien entendu).